Le Oui à la modification de la loi COVID-19 soutient aussi le sport suisse. Swiss Olympic est par conséquent satisfaite de l'issue de la votation, pour laquelle l'association faîtière s'était activement engagée en amont du scrutin. « Le Oui à la modification de loi COVID-19 aide les sportives et sportifs dans différents domaines », explique Jürg Stahl. Le président de Swiss Olympic pense notamment ici à la légitimation des aides financières – aussi pour le sport – ainsi qu’à la protection légale du certificat COVID, avec lequel le sport a également fait de bonnes expériences ces dernières semaines. Evoquant les débats de société intenses qui ont précédé la votation, Jürg Stahl ajoute : « Le sport peut servir d'exemple. Après leur compétition, les sportives et sportifs se tendent la main et se souviennent de ce qui les unit. J’espère qu'il en sera maintenant de même dans la société. »
Maintenir la règle des 3G
Swiss Olympic soutient que la pratique du sport et de l'activité physique doit rester possible pour toutes et tous à l'avenir. L'Association faîtière du sport suisse se prononce donc explicitement en faveur du maintien de la règle des 3G lors des manifestations et entraînements de sport – pour les sportives et sportifs, mais aussi pour le personnel d'encadrement et le public. « Avec la règle des 3G et le strict respect des règles d'hygiène et de distance, il est possible d'organiser des manifestations en toute sécurité pour tous les participants et participantes », explique Jürg Stahl.
Le sport doit se pratiquer sans risque de contagion
Les libertés actuelles dans le sport mais aussi dans l'ensemble de la vie sociale doivent être préservées malgré l'augmentation rapide du nombre de cas ces derniers temps. Pour cette raison, lors de l'assemblée du Parlement du sport de vendredi dernier, Swiss Olympic a encouragé ses 110 fédérations membres à exiger le port du masque pour toutes les personnes présentes – à l'exception des sportives et sportifs actifs – lors des compétitions et manifestations sportives. « Le sport, qui n'est pas un moteur de la pandémie, reste prêt à assumer ses responsabilités et à apporter sa contribution à l’endiguement de la pandémie », déclare Jürg Stahl.