Projet Parc olympique suisse

L'écosystème «Parc olympique suisse» relie les domaines de haute performance
du sport, de la science et de l'économie, afin de renforcer le sport et la société de manière durable et innovante.

Pour réussir dans le sport, il faut faire preuve d’une grande capacité à évoluer. Les changements sociétaux, économiques et technologiques posent, et continueront de poser, des défis colossaux au système du sport de performance, engendrant des transformations radicales qui soulèvent des problématiques majeures. Par exemple: A quoi ressemble un sport de performance durable? Comment le financer et l’organiser à l’avenir? Quel intérêt pour notre société?

Le projet Parc olympique suisse, lancé durant l’été 2022 par Swiss Olympic, apporte des éléments de réponse. Le Parc olympique suisse n’est pas un complexe sportif; il s’agit plutôt d’un réseau de forces innovantes issues des milieux sportifs, économique et scientifique. Le Parc olympique suisse vise à offrir un environnement qui favorise les interactions entre les partenaires les plus variés pour le bien commun et il met en place les conditions nécessaires pour y parvenir. Le nom («Parc olympique suisse») est un titre de travail au stade actuel du projet et peut encore changer.

Le comité de pilotage est l'organe principal. Il s'occupe des concepts élaborés par la direction et le groupe de projet, prend des décisions transversales et représente le projet vis-à-vis des parties prenantes externes. Il se compose d’un groupe décisionnel (le comité de pilotage) et d'un groupe d'accompagnement. Au sein du groupe d'accompagnement, l'échange avec les pouvoirs publics est assuré. Cette répartition tient compte des principes de "bonne gouvernance" entre les bailleurs de fonds et les bénéficiaires.

Le comité de pilotage est composé de 26 membres :

• 19 représentants du sport (fédérations sportives, Swiss Olympic, athlètes, aide sportive).
• 4 représentants de l'économie.
• 3 représentants du secteur de la santé.

Le comité de pilotage est dirigé par Jürg Stahl, président de Swiss Olympic.

Le groupe de projet est le noyau opérationnel du projet. Il est "l’usine" du projet, assume la responsabilité opérationnelle globale du projet et gère l'interface importante avec le comité de pilotage. Il est responsable de l'élaboration des concepts sur la base des contributions des groupes spécialisés et d'autres experts consultés dans le cadre des travaux du projet. Le groupe de projet établit le processus de rapport, surveille le budget et anime les ateliers ainsi que les réunions du comité de pilotage. Le groupe de projet est composé comme suit :

Co-chef de projet :

• Ralph Stöckli (Swiss Olympic)
• Stephan Oetiker (Generis AG)

Équipe de projet:

• Bruno Bosshard (Swiss Olympic)
• Maja Neuenschwander (Swiss Olympic)
• Milena Käslin (Swiss Olympic)
• Andreas C. Weber (HEFSM)
• Robin Sticher (Generis AG)

Jusqu'à présent, quatre groupes d'experts issus de plus de 40 entreprises et fédérations ont été mis en place et ont formulé des besoins, recueilli des critiques, mis en évidence des problèmes et partagé des innovations dans le cadre de huit ateliers organisés autour des questions centrales. Les connaissances ainsi recueillies, associées à plus de 150 entretiens avec des spécialistes, constituent la base des quatre axes thématiques et des sous-projets pilotes et d’approfondissement. Les groupes spécialisés «Sport Big Data», «Durabilité et société», «Formation et perfectionnement complets de la relève, des athlètes et des entraîneurs» ainsi que «Nouvelles technologies, recherche et développement» ont été mis en place dans la sous-phase «Comprendre». Dans la suite du projet, un cinquième groupe spécialisé sera en outre mis en place dans le domaine de la «gouvernance».

Vision: La Suisse devient un benchmark mondial et un centre de compétences pour le développement durable et holistique des performances des personnes et des équipes.

Le développement durable et holistique des performances constitue la base de notre système de promotion du sport de performance. Celui-ci doit continuer à conduire à de nombreuses médailles. Elle doit cependant être pilotée de manière responsable par le développement global de l'être humain et donc par le développement physique et psychique individuel.

Cet axe vise à mettre en place un centre de compétences axé sur la promotion de la performance des personnes et des équipes, non seulement dans le sport de performance, mais aussi dans d'autres secteurs, comme l'économie. L'accent est mis sur une approche holistique, c'est-à-dire toujours en interaction entre le corps, l'esprit et le matériel. Il s'agit de domaines tels que l'alimentation, la fatigue, le psychisme, l'athlétisme, l'aérodynamisme ou le climat.

Vision: Le temps passé dans le sport de performance - indépendamment du fait que je sois athlète, entraîneur ou expert - agit comme un booster pour la suite du développement professionnel et privé après la carrière sportive. Le moment où l'on quitte le sport (drop-out) ne joue aucun rôle.

Dans cet axe, l'individu est au centre des préoccupations. Il s'agit de créer les conditions nécessaires pour qu'une carrière dans le sport de performance puisse être un booster pour le développement professionnel et privé pendant et après la période de sport de performance. Une carrière dans le sport de performance doit aller de pair avec la planification familiale et le développement professionnel après la carrière sportive. Il s'agit ici d'aborder des thèmes tels que l'entrée et la sortie de la vie professionnelle, le transfert des talents, l'équilibre entre le sport et la vie privée ou la gestion de l'abandon.

Vision: Être l'organisation leader au niveau mondial dans la mise en œuvre d'un développement durable du sport de performance.

Cet axe a pour objectif le développement durable du sport, afin que le sport de performance puisse continuer à entretenir de bonnes relations avec la société et à être soutenu par celle-ci. Les potentiels dans les trois domaines du développement durable - social, écologique et économique - sont analysés et développés. L'accent est mis en particulier sur les grands évènements durables et les disciplines sportives durables.

Vision: Know your assets - create new business. Transformer ensemble les perturbations et les opportunités en avantages monétaires pour le sport de performance suisse grâce à des modèles commerciaux innovants.

Dans cet axe, il s'agit d'identifier et d'utiliser de nouveaux modèles commerciaux et chaînes de création de valeur dans le sport de performance suisse et au-delà. Il s'agit de répondre à des questions telles que : Quels sont les actifs du sport de performance suisse et comment peut-il les protéger et les utiliser ? Quelles économies d'échelle peuvent être créées par des coopérations inter-sportives ? Et d'où proviennent les moyens d'investissement ? Il s'agit ici d'idées et de business cases orientés B2B et B2C.

Connaître ses conditions physiques et psychiques de base au début d'une carrière sportive de haut niveau à fond est une pièce importante du puzzle, afin d'avoir la plus grande sécurité possible pour ne pas avoir de restrictions ou de problèmes de santé dans la carrière sportive ultérieure.

Dans ce domaine, de très grands progrès ont été réalisés ces dernières années, qui vont bien au-delà des examens médico-sportifs (EMS) déjà effectués de manière standard aujourd'hui. La prochaine étape consistera à mettre à disposition de manière plus large et plus systématique l'Athletes Due Diligence (ADD) développée et testée par l'OYM pour le sport de performance suisse. Dans le cadre d'une ADD, les dispositions de base en matière de santé des athlètes sont examinées de manière très détaillée ce qui permet de garantir que le sport de haut niveau assume sa responsabilité dans le domaine de la santé à long terme des athlètes.

Les athlètes pratiquant un sport individuel agissent juridiquement et en termes d'assurance comme des «entreprises individuelles». Cette construction présente actuellement des lacunes substantielles dans le domaine de l'assurance et de la prévoyance de ces athlètes.

Il n'est pas possible de trouver une meilleure solution sur une base individuelle. Ce projet d'approfondissement doit donc examiner si, et à quoi, une nouvelle solution d'assurance et de prévoyance pourrait ressembler si l'ensemble du sport de performance suisse se chargeait de cette affaire en tant que «client unique» et voulait la résoudre avec les fournisseurs correspondants.

Pour que les différents acteurs d'un écosystème puissent se comprendre, l'existence d'une architecture de données fondamentale, soutenue par tous, est une condition sine qua non pour que les échanges entre eux soient sécurisés et basés sur la confiance.

Sur la base du projet discover.swiss développé dans le domaine du tourisme et cofinancé par le SECO à hauteur de 3,2 millions de francs, il s'agit de tester si ce projet peut jouer le rôle de couche d'architecture de données dans le Parc olympique suisse.

Les carrières dans le sport de performance sont limitées dans le temps. Différents événements (blessures, motivation, finances) peuvent entraîner l'arrêt prématuré et parfois inattendu des carrières dans le sport de performance. Dans le système actuel, l'expérience du drop-out est souvent perçue comme brutale, abrupte et non valorisante. Il en résulte le sentiment de s'être engagé dans une impasse et d'avoir perdu des perspectives. Afin de trouver, dans un petit pays, suffisamment de personnes qui optent pour le sport de performance à l'avenir, il est important d'éviter que le drop-out ne suscite des émotions négatives.

Ce projet d'approfondissement doit montrer comment le moment du drop-out peut être mieux valorisé. En outre, il doit montrer à quoi pourrait ressembler un concept de transfert de talents systématiquement mis en œuvre au sein des disciplines sportives de compétition et entre le sport de performance et d'autres secteurs économiques en Suisse.

En Suisse, la profession officielle de «athlète» n'existe pas. «Il n'existe pas de reconnaissance professionnelle formelle pour les athlètes. Aujourd'hui, le transfert des compétences acquises par les athlètes au cours de leur carrière vers d'autres domaines professionnels se fait tout au plus de manière informelle» (OFSPO, 2015). Le sport de performance n'est pas le seul dans ce cas - et ce, bien que la libéralisation du marché de la formation permette de tels nouveaux développements. Nous voyons actuellement trois domaines importants pour la société, pour lesquels la reconnaissance officielle des compétences acquises dans la pratique est pertinente :

• Armée (augmentation de l'attractivité de la formation militaire au commandement)
• Politique de milice (faciliter le recrutement de nouveaux politiciens de milice)
• Sport d'élite (simplification de la transition entre la carrière sportive et la carrière professionnelle)

Dans le cadre de ce projet d'approfondissement, il s'agit de vérifier les besoins de ces trois domaines et de les rassembler dans un concept général commun, de manière à pouvoir ensuite décider de la suite des opérations.

La recherche d'infrastructures d'entraînement et de compétition pour tester et/ou mettre à l'échelle de nouvelles technologies innovantes est aujourd'hui liée à d'importantes dépenses et clarifications - même pour des institutions telles que l'EPFL. Cela freine le flux d'innovation et entraîne des coûts administratifs qui ne sont pas mis à la disposition de l'innovation.

Parallèlement, grâce au programme CISIN (Conception des installations sportives d'importance nationale) coordonné par l'OFSPO, il existe dans toute la Suisse un vaste réseau d'infrastructures sportives de qualité, soutenues par des fonds publics.

Ce projet d'approfondissement doit examiner comment répondre plus efficacement à l'avenir au besoin de l'innovation ou de la recherche en matière de sport d'accéder rapidement et facilement aux infrastructures sportives existantes.

Il existe en Suisse des institutions de recherche publiques et privées qui sont des leaders mondiaux. D'autres viendront s'y ajouter dans les années à venir. La mise en réseau entre ces acteurs est aujourd'hui sous-développée et aléatoire. Il existe même parfois des peurs de contact ouvertement vécues.

L'objectif de ce projet d'approfondissement est d'amener ces centres de compétence à un échange co-créatif qui devrait finalement aboutir à la création en Suisse de futurs SOP Research Labs gérés en commun et organisés logiquement selon les thèmes de recherche, qui deviendraient les «centres centrales» de l'écosystème SOP.

Pour que l'innovation puisse voir le jour, il faut être prêt à s'engager sur de nouvelles voies et à aborder des thèmes qui ne conduiront pas à un succès absolu. Rares sont les grandes innovations qui ont vu le jour par la voie la plus directe.

Cela implique également de mettre à disposition des moyens financiers qui peuvent aussi être «perdus». L'industrie de la santé et l'industrie pharmaceutique montrent l'exemple depuis des décennies. Actuellement, le sport de performance suisse ne dispose pas de tels moyens d'innovation «à fonds perdu», ce qui freine sensiblement les activités d'innovation. Parallèlement, des signaux actuels en provenance du monde politique (Postulat n° 21.4509 de M. Dobler ) et du secteur de l'encouragement (Fondation Sport Promotion Suisse) montrent que la volonté d'investir davantage dans l'innovation sportive est bien présente.

Pour plus d'informations sur le Sports Innovation Hub, cliquez ici.

Le projet fait partie de la stratégie de Swiss Olympic et est initié et géré directement par le Conseil exécutif.

Il n'est pas possible de le dire actuellement. Un écosystème ne se caractérise pas par UN chef, mais par l'interaction de nombreux partenaires engagés qui poursuivent un objectif commun. Dans cette conception, c'est l'objectif commun qui guide les partenaires impliqués plutôt que le rôle de leader d'une seule personne ou organisation.

La structure du projet est décrite en détail sous la rubrique «Organisation du projet».

Le projet Parc olympique suisse est l'une des principales priorités stratégiques de Swiss Olympic pour les années à venir. Le Parc olympique suisse doit assurer la base d'un succès durable, sportif et économique dans la perspective de 2040. Swiss Olympic est le mandant du projet et est représenté à tous les niveaux du projet. Le comité de pilotage est dirigé par Jürg Stahl, président de Swiss Olympic, et le groupe de projet par Ralph Stöckli, chef du département Swiss Olympic Team.

Le financement se compose de fonds publics et privés, auxquels s'ajoutent des contributions en nature et des ressources et infrastructures mises à disposition. Les dimensions des coûts dépendent fortement des différents projets qui se trouvent actuellement au stade de la faisabilité.

Le sport de performance est confronté à de grands défis qui, s'ils ne sont pas résolus de manière proactive, peuvent conduire à ce que la société et/ou le marché lui retirent à long terme sa "licence to operate" ou du moins la redimensionnent fortement. Ces défis sont déjà visibles depuis des années et se manifestent, par exemple, par la véhémence croissante avec laquelle la société exige la durabilité tridimensionnelle (sociale, écologique, économique) dans le sport de performance. Ou encore la perturbation des habitudes de consommation des médias, qui menace de plus en plus l'un des principaux piliers du financement mondial du sport de performance. De nouvelles innovations trans-sportives sont nécessaires, qui naissent de la collaboration entre les secteurs de haute performance du sport, de l'économie et de la science. Cette collaboration est sous-développée en Suisse, malgré une excellente base.

C'est là qu'intervient l'écosystème du Parc olympique suisse. Il active les synergies et le potentiel inutilisé en créant les conditions-cadres nécessaires et en mettant en réseau les acteurs à travers le sport - afin de trouver des solutions aux défis mentionnés ci-dessus. Le Parc olympique suisse entend ainsi apporter une contribution essentielle au renforcement durable et innovant du sport et de la société.

L'écosystème du Parc olympique suisse a pour objectif de renforcer le sport et la société de manière durable et innovante. Au sein du sport, le Parc olympique suisse soutient d'une part les fédérations et les fonctionnaires en s'occupant de thèmes d'ordre supérieur dans une perspective à long terme, afin que les différentes fédérations puissent se concentrer sur leurs tâches principales actuelles. Ce faisant, il se penche sur des thèmes dont les fédérations ont compris qu'elles ne voulaient ou ne pouvaient pas résoudre seules. Les athlètes et les entraîneurs bénéficient par exemple d'un accès à des infrastructures de recherche et d'entraînement mieux connectées, de nouvelles prestations de service concrètes (p. ex. assurances) et d'une grande facilité lors du passage de la vie sportive à la vie professionnelle, ce qui profite également à la société. Outre ces effets positifs directs, la société est également renforcée par le développement durable du sport de performance suisse et le changement de valeurs qui en découle, notamment en ce qui concerne la durabilité tridimensionnelle. Au-delà du sport, les acteurs économiques et scientifiques profitent également de l'accès structuré aux athlètes de haut niveau et aux données correspondantes, ainsi que des modèles commerciaux et des cas d'entreprise qui résultent de ces nouvelles collaborations.

Chaque projet a besoin d'un "terrain de départ". Le sport de performance est un domaine de haute performance avec une exigence de qualité maximale et un groupe de taille raisonnable (environ 5'000 athlètes en Suisse), qui permet d'approfondir des thèmes spécifiques (par exemple, l'analyse des données). Les connaissances acquises dans le Parc olympique suisse profiteront également au sport de masse. Par analogie avec l'espace - grâce auquel la société dispose aujourd'hui de produits les plus divers, comme la technologie de navigation ou la couverture de survie.

Non. Le Parc olympique suisse n'est pas un projet d'infrastructure, mais il met en réseau des forces innovantes issues du sport, de l'économie et de la science. Un nouvel écosystème doit être établi afin de renforcer le sport de performance suisse et la société de manière innovante et à long terme.

Les phases du projet et l'horizon de planification sont décrits en détail sous la rubrique «Déroulement du projet».

Les thèmes ont été élaborés à partir d'un total de huit ateliers de groupes spécialisés et de plus de 150 entretiens et ateliers en petits groupes avec des représentants du sport, des fédérations, de l'économie, de la science et de la politique, puis validés par le comité de pilotage. Le comité de pilotage est composé pour moitié de représentants des fédérations et pour moitié de plusieurs représentants des athlètes.

Dans la phase d'approfondissement actuelle, il est fait appel de manière ciblée à des experts dans les domaines du sport, de l'économie et de la science. Les personnes intéressées peuvent s'annoncer à l'adresse sop@swissolympic.ch.

Un écosystème décrit le réseau et les infrastructures virtuelles et physiques nécessaires, dans lequel les acteurs du sport, de l'économie et de la science sont reliés pour réaliser ensemble des prestations innovantes. Les effets de réseau générés dans un écosystème permettent et facilitent l'interaction entre les acteurs, créant ainsi de nouvelles solutions et de nouveaux services que chaque acteur n'aurait pas pu proposer individuellement.

Les informations recueillies dans le cadre de onze ateliers et de plus de 150 entretiens et ateliers en petits groupes sur les potentiels de développement, les besoins, les problèmes et les innovations ont pu être regroupées en quatre thèmes généraux. Ceux-ci sont décrits en détail dans la rubrique «Axes thématiques». Un axe thématique est donc un ensemble de thèmes liés entre eux qui sont traités en collaboration avec des personnes compétentes issues du sport, de l'économie et de la science.

Dans les projets d'approfondissement, l'accent est mis sur l'étude de faisabilité et la conception. Il s'agit d'analyser si des potentiels de développement, des besoins réels et des partenariats commerciaux sont identifiables et si les premières applications peuvent être élaborées sur le plan conceptuel. Dans les projets pilotes, il s'agit non seulement de développer des cas d'utilisation, mais aussi de tester ces cas d'utilisation.

Un changement culturel naît au fil du temps de la somme de toutes les actions. Nous nous trouvons dans un monde de plus en plus complexe, qui pousse les systèmes et les cultures actuels à leurs limites. Pour obtenir des réponses aux questions de demain, il sera important de bien se mettre en réseau, de partager les connaissances entre nous et - de manière générale - de collaborer de manière beaucoup plus étroite et ouverte au-delà des frontières actuelles. Dans le sport de performance, ce n'est pas encore la norme. Souvent, les défis sont abordés de manière isolée plutôt qu'en association avec d'autres. Cela consomme beaucoup de ressources et n'apporte de plus en plus souvent pas le succès escompté. Les structures surchauffent et les personnes clés sont mises sous pression. Des termes tels que confidentialité, planification à long terme, hiérarchie ou commande et contrôle sont de plus en plus remplacés par des attributs tels que agile, en réseau, centré sur le client, collaboratif et partenarial.